Cet automne, les étudiant·e·s de première participent à un atelier avec Regina Dürig, où il s’agit d’expérimenter l’espace d’écriture présent en chacun·e de nous : Das Schreibzimmer ; l’atelier d’Eugène s’articule autour des points de départ des textes, car Il faut bien commencer.
Les étudiant·e·s de 2ème et 3ème année se retrouvent dans des ateliers protéiformes avec du côté francophone : Elisa Shua Dusapin qui propose d’explorer les notions de familiarité et d’étrangeté – Familière étrangeté ; Antoine Jaccoud qui se penche avec les participant·e·s de son atelier sur la parole des personnages et le sous-texte dans l’écriture de monologues (Ce que parler veut dire) ; Léonora Miano propose un atelier intitulé Écrire les figures disparues, focalisé sur la création de personnages littéraires à partir de documents sur des figures disparues. En allemand, Martina Clavadetscher et les participant·e·s de son atelier explorent l’apport de matières, de structures et de motifs textuels dans l’écriture de textes pour le théâtre (Monster, Märchen und Motive). Pendant ce temps, un atelier avec Usama Al Shahmani investigue les espaces situés entre ‘je’ et les langues qui l’habitent (Sprachen, die ich in mir trage). Friederike Kretzen s’interroge avec les étudiant·e·s sur ce qu’ ‘être dans la lune’ implique, littérairement et en compagnie entre autres de V. Woolf et N. Gogol (Vom Mond und der Utopie), l’atelier de MA-CAP animé par Rohit Jain s’intéresse à la manière dont nos propres analyses et pratiques culturelles sont imbriquées dans des relations de pouvoir postcoloniales. Enfin, dans le cadre d’un projet, Birgit Kempker invite à voyager dans d’autres dimensions, celles du rêve lucide et de son exploration dans les processus d’écriture (Reise in andere Dimensionen).