Statique, rien ne se passe. Zurich est solide, blindée, une montagne de béton inébranlable.
Tout ce béton.
Ces routes, carrefours, souterrains, ponts, berges. Du centre aux faubourgs, une masse monotone pensée pour drainer des citoyens, pour les guider de force vers une vie ennuyeuse.
Comment déplacer la ville ? se demande-t-il.